Vœux 2021 - Primobox

Vœux 2021

2020 une année particulièrement particulière !

Digne d’une série interminable, à n’en pas douter, nous venons de vivre et d’écrire un nouveau chapitre que nous retrouverons dans les livres d’histoire, marqué en particulier par la pandémie de COVID-19.

Après avoir dressé le bilan RH 2020, nous souhaitons vous adresser tous nos vœux pour cette nouvelle année. Que 2021 vous apporte le bonheur, la réussite et le succès dans vos projets !

2020 pour Primobox en 6 chiffres clés

  • 13 ans d’expertise
  • 45 collaborateurs
  • 1 politique RSE forte
  • 450 clients
  • 6 000 sociétés utilisatrices sur DEMAT RH®
  • 9 millions de documents traités

 

Vœux 2021 - Primobox

2021, quelles résolutions ?

Une année se termine, une nouvelle commence !

La dématérialisation est un enjeu majeur pour toutes les entreprises, lié en particulier à l’évolution des modes de travail (télétravail, multi-sites). La crise sanitaire avec la COVID 19 accélère la digitalisation des Ressources Humaines. Si le sujet était identifié par certains comme un projet à moyen terme, il est devenu prioritaire pour beaucoup.

Nous avons de fortes ambitions de croissance, en termes de chiffre d’affaires et de recrutements sur les prochaines années, pour répondre à cette demande.

Le plus important reste de vous accompagner dans vos projets de transformation numérique et d’apporter une solution à toutes vos problématiques pour dématérialiser vos documents (bulletins de paie, documents annexes, charte informatique, contrat de travail, solde de tout compte…), automatiser vos processus RH et sécuriser vos données.

N’oublions pas que cela concerne tout le parcours de vie de vos collaborateurs dans l’entreprise, de l’onboarding à l’offboarding  !

Ensemble vers de nouveaux horizons !

Meilleurs voeux 2021 !


Bilan RH 2020 Primobox

Bilan RH 2020, les 3 grands défis

2020 a été une année sans précédent pour les Ressources Humaines. Remplie de défis apportés par la crise sanitaire traversée par le monde entier, elle a vu le statut des RH évoluer et s’affirmer vers un rôle plus central dans l’entreprise.

Télétravail, expérience collaborateur, analytique RH : comment ces tendances de l’année 2020 ont-elles été abordées par les professionnels RH ? Quels impacts a eu la pandémie sur ces sujets-clés ?

Bilan RH 2020 Primobox

Le télétravail : son adoption forcée fait évoluer les mentalités

Le constat :
Ces dernières années, le télétravail était régulièrement présent dans les tendances RH. S’il se développe grâce à l’utilisation d’outils de communication pour faciliter l’échange à distance, il ne fait pas forcément l’unanimité dans les entreprises, plutôt frileuses. Culture du présentiel (et du présentéisme), manque de confiance en la productivité des salariés à distance, management inadapté… Le télétravail était souvent réalisé de manière informelle, non reconnue, invisibilisant la pratique et ses résultats.

Ce qu’il s’est passé en 2020 :
Depuis le confinement les entreprises se sont vues obligées de miser sur le télétravail généralisé (sur les postes éligibles) afin d’assurer la continuité d’activité tout en protégeant leurs collaborateurs. Ces derniers sont globalement satisfaits du télétravail et apprécient l’expérience. Selon un sondage Glassdoor1, 38% des personnes interrogées se disent tout aussi productives en télétravail qu’en présentiel. 20% estiment même être plus efficaces qu’au bureau. Le principal avantage pour 62% des sondés, reste la possibilité de mieux gérer son temps et de travailler à son propre rythme. La productivité des équipes durant les confinements s’est maintenue, entraînant une évolution des mentalités sur le sujet.

Et pour 2021 ?
La situation devrait continuer d’évoluer l’année prochaine. En effet, 85% des DRH2 ont prévu de revoir la place du télétravail dans leur entreprise en 2021. Cependant, le télétravail confiné n’est pas comparable à un télétravail organisé tel que les collaborateurs le plébiscitent pour l’année 2021. Les RH devront veiller à l’accompagnement régulier des collaborateurs afin de garder un lien avec eux mais aussi s’assurer de la continuité de la collaboration intra et inter-équipes. Un autre point de vigilance : le maintien d’une relation de confiance entre managers et collaborateurs, pilier du bon fonctionnement des équipes.

L’expérience collaborateur : un enjeu de taille pour sortir de la crise

Le constat :
Depuis 2 ans le concept d’expérience collaborateurs, fortement lié à celui de marque employeur, prend de l’ampleur dans le milieu RH au point de devenir un sujet stratégique. 35% des professionnels RH ont initié une démarche en ce sens à fin 2019 contre 25% l’année précédente selon le baromètre 2020 Parlons RH3. Si renforcer l’engagement des collaborateurs reste le but principal de l’amélioration de la marque employeur pour 77% d’entre eux, la performance globale de l’entreprise est aussi dans le viseur pour 56% des répondants***. Pour les RH, les 3 principales activités prioritaires sur ce sujet sont l’intégration, le management et le recrutement.

Que s’est-il passé en 2020 ?
La crise sanitaire a souvent stoppé une partie des recrutements et bouleversé l’intégration de ceux qui se sont maintenus, forcément à distance. Quant aux relations entre les managers et leurs équipes, elles ont souffert d’une perte de confiance résultant en une baisse de l’investissement des collaborateurs, 46%4 d’entre eux s’estimant moins engagés dans l’entreprise qu’avant.

Et pour 2021 ?
Le challenge RH 2021 sera de continuer les actions d’amélioration de l’expérience collaborateur non plus en se cantonnant aux candidats et à leur intégration, mais en les pensant pour la totalité des salariés pour les fédérer. C’est bien en développant la satisfaction globale de toutes les équipes que les RH pourront améliorer l’engagement de ces dernières.

L’analytique RH reléguée au second plan

Le constat :
L’analytique RH, c’est-à-dire l’analyse des données spécifiques au secteur des Ressources Humaines, émerge depuis quelques années sur le marché. Elle se positionne comme un atout sérieux pour prévoir et ajuster la politique RH de l’entreprise mais aussi améliorer l’expérience collaborateur. Comment ? En améliorant la gestion des Ressources Humaines grâce à une meilleure compréhension des profils et des motivations des salariés, basée sur l’analyse des données.

Que s’est-il passé en 2020 ?
67% des professionnels RH estiment que les Ressources Humaines vivent une transformation numérique, mais seulement 20% d’entre eux placent l’analytique RH parmi leurs priorités5. En cause : la difficulté à organiser les données et le coût des logiciels spécialisés. On comprend alors aisément pourquoi cette tendance reste encore confidentielle, et pourquoi elle est passée en arrière-plan cette année. Le temps et les budgets ont dû être alloués à des actions plus urgentes.

Et pour 2021 ?
Néanmoins ce sujet mérite que l’on y réfléchisse. Maîtriser les données permettra d’anticiper les problèmes, repérer les meilleurs profils et prévoir les résultats de la politique RH globale. Et ce afin d’accélérer et de faciliter la prise de décision et créer toujours plus de valeur ajoutée pour l’entreprise, sujets cruciaux pour rebondir efficacement et rapidement après la crise. Cependant, si l’analytique RH permet de faire ressortir objectivement un profil plutôt qu’un autre en se basant sur des données factuelles, elle ne remplace pas l’expérience et le ressenti du DRH. Le challenge résidera dans l’équilibre entre l’humain et la technologie, cette dernière devant rester ce qu’elle est : un outil d’aide à la décision.

L’année 2020 aura transformé les Ressources Humaines en les repositionnant comme un acteur majeur de l’entreprise. C’est le moment de consolider ce statut de décisionnaire, en étant force de proposition sur des chantiers RH importants comme ceux évoqués dans cet article. Mais également en restant à l’affût des tendances 2021 qui en découleraient directement : surveiller l’équilibre entre travail et vie privée, instiller de la diversité et de l’inclusion au sein de l’entreprise ou encore approfondir sa politique de Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE).

Sources :
(1) Sondage “Télétravail imposé face au COVID-19 : qu’en pensent les français ?” – Glassdoor
(2) Comment la COVID-19 a changé la donne dans les entreprises ?
(3) Baromètre 2020 “L’expérience collaborateur vue par les acteurs RH” – Parlons RH
(4) Sondage Welcome to the jungle
(5) Étude “The future of HR” – KMPG<


La Vie Active dématérialisation avec Primobox

Gain de temps immédiat pour les 90 établissements de La Vie Active

Créée en 1964, La Vie Active est une association reconnue d’utilité publique en 2002. Son activité couvre tous les secteurs du médico-social : l’enfance, les adultes en situation de handicap, les personnes âgées, le social, le travail, la formation et l’humanitaire. La Vie Active compte 90 établissements et services employant 3 915 salariés dont 1 000 travailleurs en situation de handicap.

Une volonté forte d’améliorer les processus RH

Le siège de La Vie Active, situé à Arras, centralise les fonctions supports dont les Ressources Humaines. Les documents (bulletins de paie, documents de fin de contrat) sont imprimés et envoyés à chaque site où la comptabilité de l’établissement les met sous enveloppe et les distribue à chaque collaborateur sur son lieu de travail.

Par son activité médico-sociale, l’association émet également plus de 400 contrats de travail chaque mois. Les établissements doivent en effet pallier les absences des salariés par des contrats courts afin d’assurer la continuité des soins prodigués aux patients. Comme les autres documents RH, les contrats sont générés au siège puis transmis à l’établissement pour être signés par les salariés. Ils sont ensuite renvoyés au siège pour recevoir la signature de la direction, puis redistribués une dernière fois aux établissements qui conservent le document dans les dossiers du personnel.

« En échangeant avec la Directrice des Ressources Humaines, nous avons fait le constat que ce fonctionnement faisait perdre du temps à l’équipe et devait être amélioré. La dématérialisation constituait une bonne opportunité de simplifier la vie des établissements et de l’équipe RH en leur faisant gagner du temps. » nous explique Adrien Petit, directeur informatique de La Vie Active.

Réactivité, confiance et interopérabilité

Primobox et la solution DEMAT RH® sont sélectionnés parmi plusieurs prestataires. Adrien Petit explique : « Nous voulions travailler avec un spécialiste de la dématérialisation, sur une solution éprouvée, capable de gérer les volumes d’une structure comme la nôtre.

La relation avec les équipes très réactives ainsi que le suivi clair et régulier nous ont rassuré et ôté toute inquiétude quant au bon déroulé du projet. » L’interopérabilité de DEMAT RH® avec le logiciel de gestion paie/RH d’EIG, dont est équipé La Vie Active, a également compté dans le choix du prestataire. En effet, la connexion entre les deux outils va permettre de dématérialiser les soldes de tout compte très simplement.

Dans la continuité des échanges, la mise en place sera rapide et efficace. « Nous avons choisi de dématérialiser par étapes : d’abord les bulletins de paie, puis les soldes de tout compte et six mois plus tard la signature électronique des contrats. Ce n’est pas un projet complexe ni long à mettre en place et le gain de temps qui en résulte est immédiat. » précise Adrien Petit. Selon lui, l’accompagnement apporté par le service client fait également la différence : « Notre chargée de compte dédiée suit notre dossier depuis le début, c’est rassurant et important pour nous car elle connaît notre dossier et nos habitudes de travail. Elle est disponible en cas de besoin et nous accompagne efficacement, ce qui nous a incité à dématérialiser d’autres documents que le seul bulletin de paie. »

Des bénéfices avérés

Rapidement, le temps gagné, sur les différents traitements et les envois, est consacré à d’autres tâches. L’équipe RH et les établissements sont satisfaits de la mise en place de DEMAT RH®. Ces derniers gèrent désormais l’envoi des documents en signature en toute autonomie grâce à une solution simple d’utilisation. Ils apprécient également le classement automatique du contrat de travail dans le dossier du salarié.

Côté collaborateurs, la forte adhésion au bulletin de paie électronique est une bonne surprise pour Adrien Petit : « Nous souhaitions atteindre à minima un taux de dématérialisation de 50%. Aujourd’hui, 90% de nos salariés reçoivent un bulletin de paie électronique dans leur espace personnel sécurisé. C’est une belle réussite ! »

Un an après la mise en place, la pandémie de COVID-19 oblige la France à se confiner. DEMAT RH® s’affirme alors comme un vrai atout. « C’est un vrai plus. Nous avons évidemment été impactés par la crise sanitaire même si toutes nos équipes ont assuré une continuité d’activité soit sur site, soit en télétravail.

Grâce aux processus déjà dématérialisés, nous avons pu continuer à travailler. Il n’y a pas eu de coupure d’activité sur la gestion quotidienne des Ressources Humaines » selon Adrien Petit. Il conclut : « Grâce à DEMAT RH® nous sommes plus efficients. Les flux documentaires sont sécurisés et nous gagnons du temps, c’est un projet simple qui a réussi. Nous voulons aller plus loin dans la dématérialisation, notamment sur les dossiers des salariés mais aussi les factures clients.

 

Pour plus d’informations, contactez notre équipe.


Quels documents dématérialiser pendant la vide d'un salarié ??

Quels documents RH dématérialiser ?

La dématérialisation est un sujet d’actualité pour les Ressources Humaines. Les nouveaux usages en entreprise, le télétravail ou encore la crise sanitaire sont autant de moteurs du changement en cours. Dématérialiser les fiches de paie est souvent le premier pas vers une gestion documentaire totalement numérique. Cependant, bien d’autres dossiers RH peuvent être digitalisés ! Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous proposons une liste des documents RH à dématérialiser à chaque étape de la carrière de vos collaborateurs.

Dès l’onboarding, misez sur une gestion administrative RH efficace

En intégrant la dématérialisation dès le processus d’onboarding, vous optimisez l’arrivée du collaborateur et accélérez son intégration. C’est aussi l’occasion parfaite pour les Ressources Humaines de renvoyer une image organisée et moderne, esquissant ainsi les débuts d’une expérience collaborateur soignée. Et c’est excellent pour votre marque employeur !

Dématérialisez simplement les documents RH suivants :

Les documents obligatoires :

  • Contrat de travail (ou convention de stage) signé électroniquement et envoi automatique de la copie du collaborateur dans son espace personnel sécurisé
  • Modalités d’affiliation à la mutuelle de l’entreprise
  • Avis de visite médicale

Les documents à récupérer pour constituer le dossier du collaborateur : récoltez et conservez les pièces justificatives nécessaires

  • Copie de la carte d’identité
  • Attestation de sécurité sociale ou copie de la carte vitale
  • Copie certifiée des diplômes
  • Relevé d’Identité Bancaire etc…

Les documents informatifs :

  • Règlement intérieur de l’entreprise
  • Charte informatique, de télétravail…
  • Livret d’accueil
  • Liste des conventions collectives applicables à l’entreprise et leurs modalités de consultation
  • Livret d’épargne salariale

Pour ces documents, l’utilisation d’accusés de lecture se révèle particulièrement intéressante pour s’assurer de la bonne réception et de la prise en compte de l’information par le collaborateur.

 

Quels documents dématérialiser à l'onboarding d'un collaborateur ?

Bulletin de paie, relevés d’heure… Chaque mois, communiquez efficacement avec vos collaborateurs

Un certain nombre de documents sont à transmettre à vos collaborateurs chaque mois :

  • Fiches de paie
  • Relevés d’heures
  • Ordres de mission
  • Notes de frais etc…

Ou de façon plus ponctuelle

  • Notes d’information
  • Élections des délégués du personnel
  • Résumé des réunions du CSE etc…

Transmettez-les aux collaborateurs concernés (toute la population ou seulement une partie) en quelques clics. Ces derniers les retrouveront dans leur espace personnel sécurisé (type coffre-fort électronique) où ils seront stockés pendant 50 ans.

 

Quels documents dématérialiser pendant la vie professionnelle d'un collaborateur ?

Accompagnez vos collaborateurs tout au long de leur carrière

Votre entreprise évolue, grandit, et vous accompagnez ces changements. Un collaborateur qui s’oriente sur de nouvelles missions, un contrat court qui se pérennise, ou encore les entretiens individuels annuels… Dématérialisez l’envoi (et le cas échéant la signature) de ces documents pour plus d’efficacité :

  • Avenant au contrat
  • Signature d’un second contrat
  • Entretien individuel
  • Entretien de formation
  • Convocation du comité d’entreprise
  • Lettre de recherche de reclassement d’un salarié déclaré inapte
  • Courrier en cas d’absence injustifiée
  • Décision de sanction disciplinaire
  • Rapport introductif au licenciement

 

Quels documents dématérialiser pour accompagner la carrière d'un collaborateur ?

Gérez et soignez l’offboarding de vos collaborateurs

Quelles que soient les raisons du départ d’un salarié, il est important de soigner son expérience jusqu’au bout. Un collaborateur qui vous quitte est non seulement un ambassadeur potentiel prêt à partager avec son réseau, mais aussi une possible recrue (les employés “boomerang” sont des collaborateurs ayant quitté l’organisation à un moment de leur carrière et souhaitant y revenir après avoir progressé ailleurs).
Là aussi, la dématérialisation facilite la gestion administrative et assure une conformité légale indispensable sur les documents suivants :

  • Reçu de solde de toute compte avec accusé de réception et signature électronique du reçu
  • Certificat de travail
  • Attestation Pôle Emploi
  • Note d’information sur la portabilité de la mutuelle
  • Récapitulatif des sommes épargnées et les modalités de liquidation de l’épargne salariale (si concerné)
  • Signature électronique du procès-verbal de restitution des équipements professionnels (téléphone, ordinateur, badge, véhicule…)

 

Quels documents dématérialiser pour l'offboarding d'un collaborateur ?

 

En résumé, tous les documents importants de la carrière de vos collaborateurs sont candidats à la dématérialisation.
À la clé pour les Ressources Humaines :

  • un meilleur suivi des dossiers en cours et une traçabilité précise
  • une gestion documentaire et un archivage simplifiés
  • des collaborateurs satisfaits qui accèdent à leurs documents RH partout, à tout moment
  • un gain de temps et d’argent en supprimant la mise sous pli et les envois postaux.

Et vous, qu’attendez-vous pour mettre en place la dématérialisation dans votre entreprise ? Téléchargez l'infographie entière !



CAP SANTÉ dématérialise la signature de ses 350 contrats mensuels

CAP SANTÉ dématérialise la signature de ses 350 contrats mensuels

CAP SANTÉ est un groupement privé d’établissements de soins. Implanté dans le sud de la France, le groupe compte plus de 1 200 salariés œuvrant dans 16 structures dans l’Hérault, le Gard et l’Aude. Il connaît une croissance régulière depuis ses débuts tout en restant sur un périmètre géographique défini : la région Occitanie. L’activité hospitalière est le cœur de métier de Cap Santé qui a aussi développé une offre de crèche et d’ambulance.

Une gestion complexe et inadaptée aux contraintes quotidiennes de l’équipe

La paie est centralisée sur un établissement où est rassemblée l’équipe des Ressources Humaines. Une personne était mobilisée une demi-journée par mois sur la mise sous pli des documents et leur envoi à chaque établissement. Elle devait garder en mémoire la liste des salariés de chaque structure pour assurer la bonne diffusion des documents, ce qui générait parfois des erreurs et donc des réclamations.

Concernant les contrats de travail, il est important de préciser que l’équipe RH doit gérer de nombreux remplacements en urgence afin d’assurer la continuité des soins des patients et leur qualité. C’est pourquoi un salarié peut avoir jusqu’à dix contrats par mois si nécessaire. En pratique, le contrat était généré et transmis par l’équipe RH aux directeurs d’établissements qui convoquaient le collaborateur pour la signature. Pour les salariés travaillant de nuit, le contrat était laissé dans un registre pour signature lors de la prise de garde, sans possibilité de prouver que le document ait effectivement été transmis. Il est difficile pour le personnel hospitalier de dégager du temps sur des gardes chargées pour gérer de l’administratif. Ce procédé impliquait donc de nombreuses relances, les délais de retour des documents n’étaient pas satisfaisants.

Avec la croissance constante du groupe, la quantité de contrats à signer et de documents à transmettre s’accroît. Cette organisation n’était plus acceptable pour les RH car trop chronophage, génératrice d’erreurs et sans valeur ajoutée pour l’équipe. Elle ne permettait pas d’assurer une conformité légale satisfaisante, les collaborateurs en remplacement n’ayant pas toujours signé leur contrat au début de leur mission. Enfin, le service RH étant amené à changer de locaux, un besoin de rationaliser et réduire la masse documentaire s’est également fait sentir.

Une solution pour simplifier le quotidien et améliorer le taux de retour des contrats

L’équipe RH s’interroge alors sur les solutions pour simplifier cette situation, d’autant plus qu’elle a entendu parler de la dématérialisation et du décret sur le bulletin de paie électronique. C’était le moment de lancer le projet, et Primobox s’est démarqué de ses concurrents.

Caroline Cerutti, chargée de mission RH : « Nous avons choisi Primobox car leur solution répond à nos problématiques. De plus nous avons pu échanger directement avec un de leurs clients avant de prendre notre décision, ce qui nous a rassuré sur la qualité de la prestation et la réactivité de leur service client. »

Après une formation à distance dispensée par son chargé de compte dédié, Cap Santé a débuté sa transition numérique avec la mise en place du bulletin de paie électronique, envoyé directement dans les espaces personnels de chaque salarié. Caroline CERUTTI nous raconte : « Les retours des collaborateurs étaient positifs, nous avons pu aller plus loin avec la signature électronique des contrats de travail et la gestion dématérialisée des dossiers du personnel. »

Lors du lancement, l’équipe RH a créé un programme d’accompagnement des salariés pour leur présenter myPrimobox et leur expliquer le changement à venir lors de permanences tenues dans chaque établissement. Avec un taux de dématérialisation des bulletins de paie de 83%, c’est une réussite.

Caroline CERUTTI : « L’accompagnement des collaborateurs était un point important de la réussite de ce projet. Nous avons pu leur expliquer en face à face comment fonctionnait la signature électronique et l’envoi de documents RH dans leurs espaces. C’est un service supplémentaire que nous leur proposons, avec la possibilité de leur transmettre instantanément des pièces importantes en toute sécurité : contrats de travail, copie de leur diplôme, etc. »

Au-delà des économies réalisées en supprimant les frais liés au papier, l’équipe RH constate un gain de temps considérable et apprécie la sécurité et la conformité légale que lui apporte DEMAT RH®. En cas de besoin, elle peut désormais prouver que les contrats de travail sont transmis et signés dans les délais.

Solution complémentaire aux outils déjà en place, DEMAT RH® a permis d’améliorer le processus global de gestion des contrats et la collaboration avec les directeurs d’établissements. La prochaine étape sera d’ouvrir des droits d’accès à ces derniers afin qu’ils puissent consulter certaines pièces des dossiers du personnel de leur(s) établissement(s), comme les contrats de travail par exemple.

Caroline CERUTTI : « DEMAT RH® est une solution complète et intuitive, très facile à utiliser. Elle simplifie notre quotidien et s’adapte à notre organisation interne et ses évolutions. »

Pour plus d’informations, contactez notre équipe.


Article sur le règlement général sur la protection des données

Dématérialisation RH & application du RGPD : le bilan

Plusieurs années se sont écoulées depuis l’entrée en vigueur du Règlement Général sur la Protection des Données (n°2016/679), le 25 mai 2018. Nouvel « or noir » du XXIè siècle grâce à l’avènement du numérique et d’Internet, les plus grandes entreprises ont exploité pendant deux décennies les données personnelles des utilisateurs de leur plateforme, souvent récoltées et utilisées sans leur consentement, et bien souvent sans même qu’ils n’en soient informés.

Suite à une prise de conscience des dangers du web et à la méfiance grandissante des utilisateurs envers ces entreprises (notamment les GAFAM – Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), le RGPD est né. Objectif : mettre en place une règlementation pour garantir le respect de la vie privée et la protection des données personnelles des citoyens dans le monde numérique, et mieux réguler cette récolte de données massive opérée par les géants du web.

Applicable à toutes les entreprises traitant des données personnelles depuis le 25 mai 2018, le RGPD a imposé de nombreuses obligations aux entreprises pour redonner plus de pouvoir aux utilisateurs concernant l’utilisation qui est faite de leurs données.

 

Primobox et le Règlement Général Des Données Personnelles

Concrètement, qu’est-ce qui a été mis en place ?

  • Pour les utilisateurs :

Le RGPD a accordé de nombreux droits aux utilisateurs pour leur permettre de se réapproprier leurs données : droit d’accès, droit de modification, droit d’opposition, droit de suppression de leurs données pour les principaux. Ces droits permettent à toute personne physique de contacter n’importe quel organisme traitant des données personnelles à son sujet et de demander, selon les droits : d’avoir accès à la liste complète des données collectées à son sujet, de pouvoir les modifier ou les supprimer, ou encore de pouvoir s’opposer à ce que les données soient utilisées pour une certaine raison (par exemple refuser qu’elles soient utilisées à des fins de démarchage commercial).

 

  • Pour les entreprises :

Au-delà de mettre en place des solutions externes (notamment via des moyens de contact) et une procédure interne permettant de répondre aux demandes des utilisateurs, plusieurs obligations incombent aux entreprises. Cette liste n’est évidemment pas exhaustive mais reprend les idées majeures du RGPD et son principal objectif : remettre l’utilisateur au cœur de la gestion de ses propres données personnelles.

Le premier changement imposé par le RGPD concerne le consentement. Si le consentement n’est pas la seule possibilité pour pouvoir légalement traiter des des données personnelles, il reste nécessaire pour certains usages, notamment en matière de démarchage commercial. Chaque service en ligne se doit de demander le consentement d’une personne via une action positive (c’est ce qu’on appelle l’opt-in, par exemple une case à cocher par l’utilisateur) pour pouvoir collecter des informations personnelles à des fins de prospection commerciale. Dans ce cas, c’est ce qui permet notamment au responsable de traitement du site internet de pouvoir prouver que l’utilisateur a bien donné son consentement à cette fin. A savoir que chaque traitement des données doit être consenti séparément, c’est-à-dire qu’il faudra une action positive pour chacun des consentements que l’entreprise souhaite recueillir (publicité ciblée, démarchage, etc.).

 

Le second changement majeur concerne la collecte des données elles-mêmes. Le consentement ne suffit pas toujours pour permettre de récolter n’importe quelle donnée sur un utilisateur. Ainsi, la collecte des données doit être proportionnelle à l’usage qui en est fait : le RGPD impose en effet que les données récoltées soient « adéquates, pertinentes et non excessives au regard des finalités pour lesquelles elles sont collectées et de leurs traitements ultérieurs ». Les entreprises doivent s’assurer qu’elles ne collectent que les données qui leur semble nécessaires par rapport à l’usage qu’elles souhaitent en faire. Par exemple, il est interdit de récolter des données de santé (dites « sensibles ») si l’entreprise n’en a aucune utilité. Tout repose ici sur la pertinence et donc la justification : si l’entreprise peut correctement justifier qu’elle a besoin de collecter ce type de données pour une finalité précise de son activité, alors elle pourra légalement les collecter, sans forcément avoir besoin du consentement explicite de la personne concernée.

 

De cette idée découle des durées de conservation limitées des données, qui sont désormais obligatoires et qui doivent être documentées par l’entreprise. Si la collecte et l’utilisation de données personnelles doit pouvoir être justifiée par l’entreprise, la durée de leur conservation au sein des bases de données de l’entreprise doit pouvoir l’être également. Chaque type de données collectées doit donc forcément avoir une « date de péremption » prévue par l’entreprise, notamment en matière RH où les données des salariés doivent être conservées pendant une durée précise définie par le code du travail.

 

Enfin, le dernier changement majeur concerne les obligations en matière de sous-traitance. Fortement utilisée dans le secteur technologique, le RGPD a fortement renforcé les obligations des entreprises faisant appel à des sous-traitants dans le cadre de leurs activités, notamment en obligeant l’entreprise à s’assurer que l’intégralité de ses sous-traitants respectent les mêmes obligations qu’elle, en matière de protection des données comme au niveau de ses obligations contractuelles. A défaut, elle sera responsable des manquements de ses sous-traitants. De nombreux droits découlent de cette obligation, notamment celui de pouvoir faire un audit de ses sous-traitants pour s’assurer de leur respect à ces obligations.

La désignation d’un DPO permet de faire respecter toutes ces règles. Obligatoire dans certains cas, elle est dans tous les cas recommandée dès lors que l’entreprise récolte des données personnelles, quelles qu’elles soient.

Et la dématérialisation des processus RH dans tout ça ?
Le RGPD rend-il tout ça trop compliqué face à l’utilisation du papier ?

À partir du moment où une entreprise collecte et traite des données à caractère personnel sur un citoyen européen, elle est soumise au RGPD, qu’elle gère des documents papier ou dématérialisés. Finalement, la dématérialisation des documents et plus précisément des documents salariés ne change pas grand-chose face aux obligations RGPD des entreprises, puisque le traitement se fait de la même façon : consentement généralement non obligatoire, données récoltées proportionnelles à leur utilité pour l’entreprise, durées de conservation similaire.

La seule chose qui change réellement en matière de dématérialisation, c’est le format utilisé et donc la conservation des documents dans des conditions permettant de garantir leur intégrité. L’intégrité consiste à pouvoir vérifier que les informations contenues dans le document n’ont pas été modifiées ou ne se sont pas détériorées (notamment par l’usage d’un format de fichier devenu obsolète). Il faut donc utiliser un format permettant de garantir la pérennité du document à travers les évolutions technologiques, afin de pouvoir le conserver aussi longtemps que les durées de conservation le nécessitent. En général, le format le plus utilisé est le PDF (ou PDFA dans sa version la plus sécurisée), car il s’agit d’un format pérenne et non modifiable. Dans le meilleur des cas, le document peut également être archivé auprès d’un organisme dédié à l’archivage pour garantir son intégrité pendant toute la durée nécessaire, gage de sécurité supplémentaire. Il n’y a donc aucune raison pour que le RGPD soit un frein au développement de la dématérialisation de document.

 

Au-delà du RGPD, il ne faut pas oublier que les règles en matière de protection des données personnelles évoluent régulièrement car il s’agit d’un monde en perpétuel mouvement. L’invalidation du Privacy Shield du 16 juillet 2020 a de nouveau bousculé les normes en la matière, en considérant que les Etats-Unis n’accordaient pas une protection suffisante concernant les données personnelles des citoyens européens. Jusque-là, le Privacy Shield faisait office de « bouclier » RGPD en reprenant certaines de ses mesures protectrices tout en en oubliant d’autres, ce qui ne semble plus suffisant pour la Cour de Justice de l’Union Européenne désormais. Les transferts de données hors UE sont donc menacés (et ce n’est pas la première fois que cet accord est remis en question !) et les nombreux sites à héberger des données de citoyens européens sur des serveurs américains sont désormais en difficulté car ils n’ont, à l’heure actuelle, plus le droit de stocker leurs données sur ces serveurs.

Ces nouvelles exigences et demandes de l’État vont créer de nouveaux marchés ainsi que de nouvelles compétences qui seront capables de venir en aide aux entreprises et aux utilisateurs. La présence de la CNIL sera là dans le but de rassurer les sociétés lors de la mise en place du règlement. Il sera aussi possible pour ces dernières de s’appuyer sur les “bonnes pratiques” déjà mises en place dans les groupes s’occupant de données sensibles.
Cet article ne renseigne pas toutes les informations sur le RGPD et nous vous invitons à vous renseigner en fonction des caractéristiques de votre entreprise afin de compléter ce que vous avez pu apprendre ici avant l’application de cette loi.


Dématérialisation RH : perception et attentes des salariés

Démat RH : perception et attentes des salariés

58%* des salariés français connaissent la dématérialisation RH. 1 personne sur 2 a déjà entendu parler de la signature électronique des contrats de travail, de la transmission de documents dématérialisés et du coffre-fort électronique qui permet de stocker les bulletins de paie électronique.
86%* des sondés pensent que la dématérialisation RH est amenée à se développer dans les prochaines années.

Un taux de satisfaction élevé chez les salariés équipés

Parmi ceux qui bénéficient déjà des fonctionnalités de dématérialisation RH dans leur entreprise, le taux de satisfaction vis-à-vis de ce type de solution est particulièrement élevé :

  • ils sont 94%* à être satisfaits de la signature électronique du contrat de travail
  • 90%* approuvent le stockage dématérialisé du dossier individuel
  • 90%* sont satisfaits de la transmission de documents par voie dématérialisée
  • enfin 87%* sont contents de leur coffre-fort électronique/espace de stockage sécurisé.

Quelles conséquences pour l’image de l’entreprise ?

Une entreprise qui met en place ce type de solutions de dématérialisation est considérée :

  • innovante pour 81%* des sondés
  • performante pour 75%* d’entre eux
  • plus au service des collaborateurs pour 66%*

Les 3 principaux avantages de la dématérialisation RH selon les sondés :

  • le respect de l’environnement pour 52%*
  • la possibilité de gérer les documents à distance pour 41%* d’entre eux
  • la réduction des coûts pour l’entreprise pour 35%*.

Les 3 principaux freins :

  • 36%* manque de garantie de sécurité et de confidentialité des données
  • 36%* risque de perte d’information
  • 34%* perte de contact humains avec les RH.

Et le bulletin de paie électronique ?

58%* des sondés sont favorables à la généralisation du bulletin de paie électronique pour tous les salariés. Pourquoi ? 65%* estiment que cela permettra de limiter l’impression de documents et d’agir en faveur de l’environnement. 43%* plébiscitent le bulletin de paie électronique pour protéger ce document important en cas de sinistre au domicile.

*Données issues de l’Observatoire de la dématérialisation RH – 2019.

 



Ressources humaines et digital : quelles attentes ?

RH & digital :
quelles attentes ?

La digitalisation des entreprises françaises transforme en profondeur les processus et les habitudes de chacun sur son lieu de travail. Les Ressources Humaines n’y échappent pas et se voient proposer une multitude d’outils numériques pour optimiser leurs missions au quotidien. Mais qu’attendent réellement les RH de cette profusion de solutions ? Seulement des gains de productivité ou y’a-t-il d’autres enjeux derrière cette volonté de modernisation ? Nous faisons le point sur leurs attentes mais aussi sur les points de vigilance vis-à-vis des outils digitaux.

 

Ressources humaines et digital : quelles attentes ?

Les RH dans l’exercice quotidien de leurs fonctions

Tout d’abord, rappelons que si les acteurs des Ressources Humaines ont choisi ce métier, c’est pour ses aspects humains et sociaux : l’accompagnement des collaborateurs et la qualité de vie au travail au sein de l’entreprise étant les sujets clés du service. Si cela paraît évident, il faut préciser que dans les faits cela ne transparaît pas toujours dans les missions quotidiennes lorsque l’on interroge les principaux intéressés. En effet, s’ils estiment à 55%* que leur principale source de satisfaction au travail est d’accompagner les salariés dans leur évolution professionnelle, ils regrettent de devoir consacrer une part importante de leur temps à la gestion administrative. 61%* estiment manquer de temps. 73%* d’entre eux estiment même qu’ils y consacrent plus de la moitié de leur temps ! Au détriment des sujets de fond.

Comment la pandémie Covid-19 a-t-elle impacté les besoins des Ressources Humaines ?

La crise sanitaire que nous traversons a poussé les Ressources Humaines à s’adapter rapidement à de nouveaux modes de fonctionnement à distance et à réinventer leurs modes de communication. Elles ont dû répondre à de plus fortes sollicitations de la part des collaborateurs mais aussi de la direction de l’entreprise. 59%* des RH déclarent avoir manqué de temps et de ressources pendant cette période et plébiscitent des outils numériques pour les soulager au quotidien. Les solutions relatives à l’organisation du travail et à la communication RH arrivent en tête de liste post-confinement alors qu’elles n’étaient pas prioritaires en début d’année. Ces deux sujets font écho aux difficultés rencontrées par les acteurs à travailler à distance et à communiquer efficacement avec des collaborateurs en télétravail ou en chômage partiel.

Des attentes claires : conformité, efficacité et processus simplifiés

Globalement, les attentes fondamentales des RH vis-à-vis des solutions logicielles gravitent autour de 3 problématiques majeures* :

  • La garantie de la conformité juridique du service, de ses actions et de ses décisions
  • La simplification des tâches administratives : l’allègement des tâches de saisie et de ressaisie, grâce entre autres à la centralisation des informations du personnel
  • L’accélération et la simplification des procédures RH.

Ces attentes traduisent bien le poids de la gestion administrative au quotidien et la volonté des Ressources Humaines de s’en libérer pour se consacrer à d’autres sujets. Elles souhaitent optimiser leurs tâches afin d’améliorer leur productivité et se recentrer sur la mission n°1 : l’humain.
Cependant des points de vigilance sont à relever quant à l’adoption de ces outils dans les pratiques quotidiennes. Le prix et la sécurité des données viennent en tête des freins cités par les répondants (respectivement 66% et 39%*). Les solutions retenues seront donc celles qui s’adapteront à des budgets malmenés par la crise sanitaire et qui sauront rassurer sur leur capacité à protéger les informations importantes de l’entreprise.

En résumé, si les Ressources Humaines ont une approche centrée sur les collaborateurs, la gestion administrative quotidienne les rattrape et les empêche de s’y consacrer pleinement. En toute logique leur principal souhait est d’alléger les processus RH, afin de libérer du temps pour leur cœur de métier. Les outils de dématérialisation RH sont une excellente solution à cette problématique. Notre solution DEMAT RH vous permet de dématérialiser vos bulletins de paie, vos dossiers du personnel ou encore la signature de vos contrats de travail en toute conformité. Interfacée avec vos logiciels déjà en place (SIRH, outils de génération de contrats, etc.), elle s’intègre rapidement à vos habitudes de travail et vous fait gagner du temps en automatisant les processus d’envoi documentaires.

*Baromètre 2020 « les RH au quotidien », étude menée par les éditions Tissot : https://www2.editions-tissot.fr/page_contenu/barometre-2020-les-rh-au-quotidien/)


Gestion des contrats courts

RH & gestion des contrats courts : pourquoi les dématérialiser ?

La gestion des contrats de travail est une activité importante pour les Ressources Humaines (RH). Partie essentielle de la gestion administrative du personnel, elle sécurise les recrutements et assure la continuité d’activité de l’entreprise. Toutefois, leur administration est exigeante et ses enjeux multiples. Comment simplifier la gestion des contrats de travail au sein du service RH ? La dématérialisation apporte une réponse simple et rapide à ces enjeux.

 

RH & gestion des contrats courts : pourquoi les dématérialiser ?

 

Recruter des collaborateurs en CDD est un gage de flexibilité pour l’entreprise. Elle adapte ainsi sa masse salariale à un surcroît d’activité. Celui-ci peut être dû à une saisonnalité, lié au lancement d’un nouveau produit ou encore à un événement particulier comme un salon professionnel par exemple.

Notons qu’il existe un certain nombre de contraintes et de risques relatifs à cette gestion des contrats courts, mais qui sont contournables simplement grâce à un outil de dématérialisation des flux RH :

  • La gestion doit être rigoureuse afin d‘assurer la conformité légale indispensable à l’entreprise. À défaut, elle prendrait des risques juridiques. Par exemple voir un renouvellement de CDD se requalifier en CDI si le contrat n’est pas transmis et signé à temps. Cela implique de consacrer une part importante et régulière de son temps sur de la relance auprès des retardataires pour récupérer les documents signés en temps et en heure.
  • Cette activité bloque aussi du temps sur des tâches répétitives et peu valorisantes pour les collaborateurs qui en ont la charge : génération du contrat, impression, mise sous pli, envoi… Elle pèse sur la productivité du service RH par la récurrence et l’aspect chronophage de ces tâches. Cela limite également la réactivité : il est moins aisé de donner rapidement un retour par contrat quand cela implique de passer par toutes les étapes citées précédemment et de rallonger le processus avec les délais postaux. De plus cette gestion à un coût pour l’entreprise : affranchissement, temps passé sur les relances par email ou téléphone auprès des signataires…
  • Au-delà des enjeux juridiques et de productivité, elle impacte également l’image de l’entreprise au travers de la qualité des traitements et de l’attention portée à cette mission. Une gestion des contrats de travail efficace et cohérente laisse une bonne impression aux nouveaux arrivants et améliore la rétention des talents. Même si les collaborateurs sont en CDD, il est important qu’ils aient une bonne image de l’entreprise car ils peuvent être sollicités à nouveau pour une autre mission courte. Il serait dommage que CDD en vienne à rimer avec casse-tête administratif.

 

Autant de contraintes qu’un logiciel de gestion dématérialisée du processus de signature RH vous fera vite oublier ! Envoi du document à signer en quelques clics, tableau de suivi de l’avancement de la signature, relance des signataires/retardataires… Toutes ces options sont accessibles depuis une solution de dématérialisation RH. De plus, vous pouvez l’interfacer simplement à votre logiciel d’édition et de gestion des contrats pour un flux documentaire maîtrisé et simplifié, transparent et traçable de bout en bout. C’est plus simple quand les solutions communiquent non ? Les résultats ne se feront pas attendre !

« Nous nous appuyons désormais sur une solution métier performante et évolutive qui nous permet de mener à bien nos opérations dans les meilleures conditions, de mesurer de réels gains de productivité, et ce tout en contenant nos coûts de traitement. Cela se traduit pragmatiquement par une adhésion massive de nos collaborateurs à ce projet. »
Julie ALBERTO, Responsable Paie/ADP – Micromania/ZING

Comme Micromania/ZING, dématérialisez vos contrats de travail avec DEMAT RH® et simplifiez votre gestion au quotidien.

Vous souhaitez en savoir plus sur le projet de dématérialisation mené par Micromania ?


Infographie sur la signature électronique

La signature électronique en une infographie

Qu‘est-ce qu’une signature électronique ?

Une signature électronique assure l’intégrité du document et l’identité du signataire. Elle comporte un certificat qui assure la valeur juridique de la signature et contient les données des signataires.

 

Télécharger l'infographie

 

Que dit la loi quant à la conformité des documents numériques contenant une signature électronique ?

Depuis la promulgation de l’article 1316-1 du Code Civil* en 2000, une signature électronique a la même valeur juridique qu’une signature manuscrite. Elles engagent toutes les deux légalement de façon équivalente. La signature électronique utilisée doit permettre d’identifier l’émetteur du document et de garantir son intégrité.

Le règlement eIDAS**, entré en vigueur en juillet 2016, pose un socle européen sur la signature électronique et encourage les acteurs économiques à l’utiliser.

Il existe 3 niveaux de signature électronique : simple (documents à risque faible), avancée (documents juridiques par exemple) et qualifiée (documents pour lesquels une vérification de l’identité du signataire est obligatoire : assurance-vie, compte bancaire etc.)

Parmi les nombreux bénéfices de la signature électronique pour votre entreprise, nous retrouvons :

Une signature papier peut coûter jusqu’à 16,80€* (cela comprend les frais d’impression, d’affranchissement, de relance et de suivi ainsi que l’archivage du document) quand une signature électronique coûte au plus 8,60€*, soit 48,8% d’économies !

Cette pratique s’adapte parfaitement à la mobilité des équipes et des clients. Il est désormais possible de signer un contrat électroniquement partout et à toute heure grâce à la multiplicité des supports (ordinateur, smartphone) et à la disponibilité 24/24h des solutions. Le taux de signature de vos contrats en est nettement amélioré, tout comme la satisfaction de vos clients et la performance de vos équipes de vente.

La signature électronique simplifie et raccourcit les parcours de validation. Elle apporte aussi un niveau de sécurité supplémentaire grâce au certificat amène un niveau de preuve intéressant. Les documents ne sont plus consultés que par les principaux intéressés (les seuls signataires) optimisant ainsi un niveau de confidentialité élevé.

L’entreprise renvoie donc une image de modernité et de réactivité grâce à des processus optimisés et un outil à la pointe. C’est un aspect qui peut s’avérer différenciant dans un contexte commercial ou lors d’un recrutement par exemple.

Enfin, elle permet de réduire l’usage du papier ainsi que son transport, améliorant ainsi l’empreinte carbone de l’entreprise.

 


 

Sources

***selon une étude SealWeb®